En août 2021, Gabrielle Bélanger ressent le besoin de se créer une (auto-)résidence ancrée dans le territoire.
De Québec à Kegaska, elle va d’une cour d’école à l’autre, documentant ses performances in situ portant sur la manière de prendre espace dans ces lieux intimement significatifs. De cette résidence naît Mes territoires violences, un projet qui reprend les images vidéographiques accumulées lors des performances pour en faire des vidéos expérimentales touchant à la notion de corporalité.
Gabrielle Bélanger travaille actuellement à la réalisation de Mon premier slow, une des œuvres expérimentales de la série Mes Territoires violences. Le vidéo aborde de manière intime l’enjeu du regard de l’autre. Entre solitude et sensualité, Gabrielle Bélanger poursuit ainsi son exploration de la corporalité.